*La plaine d'Hyrule, vaste plaine verdoyante, la plus grande d'ailleurs. À la lisière de celle-ci et du domaine des Gorons, se trouvait un petit village. Le village Cocorico, petit en soit, mais pour Gumi ce village était presque aussi grand que la plaine d'Hyrule, même si elle en connaissait chaque recoins. C'est ici que vivait la jeune fille, elle aimait se petit village tranquille et où il y faisait bon vivre. Elle y avait toujours vécu, du moins dans ces souvenirs. Oui, des souvenirs Gumi n'en avait plus beaucoup, elle a 18 ans, mais ne connais sa vie que depuis 5 ans.
On lui avait raconté qu'elle avait eue un accident grave étant petit, et qu'elle était tombée dans coma pendant 2 ans. C'est une vieille dame qui l'avait alors recueillit lorsqu'elle c'est réveillé. La jeune fille n'y a jamais cru, et n'y croit toujours pas, après tout elle venait de découvrir qu'elle faisait partie des Sheikahs, vielle tribu légendaire, dont aucun membres n'avait refait surface depuis bien longtemps. Un simple accident n'aurait pas pu la faire tomber dans un coma, du moins c'est ce qu'elle avait lu sur les Sheikahs. Toujours est-il qu'elle n'avait rien dit à personne de sa découverte, elle soupçonnait même les villageois d'être au courant de quelque chose, dont ils ne voulaient plus entendre parler et dont Gumi était mêler à cette histoire. Peut-être pas en tant que personnage principale, mais dans les personnages seconds.*

Il faisait beau aujourd'hui, Gumi était dans une des fermes du village Cocorico. Les rayons du soleil, venant s'infiltrer pas les trou que laissait les planches en bois qui servait de toit, venait caresser la jeune fille de sa douce chaleur. Allongée dans le foin, les yeux fermés, elle pensait. Elle pensait à toutes ces histoires de monstres qui serait soudainement apparus au cimetière. Pourtant elle y venait souvent, et ne trouvait généralement que des rats. Pourquoi y venait-elle souvent ? Et bien elle y travaillait. Depuis quelques temps Gumi venait les nettoyer, mettre des fleurs par-ci par-là. La jeune fille trouvait bien anormal, que même mort, les gens n'est pas le droit d'être propre.
Tous les matins en chantant, elle venait nettoyer toutes les tombes, racontant sa vie à l'un, donnant des conseils à l'autre. Bien entendue certaine personnes, vivantes, la prenais souvent pour une folle. Qu'ils aillent au diable, songeait-elle souvent. Elle n'en avait que faire de gens qui se moquait d'elle en permanence, comme lui disait souvent la vieille, s'ils disait ça, c'est qu'ils ne valaient pas grand chose et que tous c'était juste pour que l'on s'intéresse à eux.
Enfin bref, toujours est-t-il que ces histoires de monstres la perturbait. Qu'est ce qui avait bien pu faire surgir des monstres, disparut depuis un bon bout de temps. Gumi se décida donc à allait à Hyrule, cela faisait un bon bout de temps qu'elle n'y été pas allait. Et elle savait que les Hyliens savais toutes les rumeurs qui cours. Par conséquent, trouverait-elle peut-être la source de cette rumeur de monstres au cimetière.
Le lendemain Gumi prépara ses affaires, puis partie pour Hyrule. Et comme à son habitude la vieille lui lançait toujours un :
« Fait attention à toi ! »
Auquel la Gumi répondait toujours la même chose:
« T'inquiète, je reviens dans deux jours. D'ici là prépare nous un bon poulet digne de ce nom »lâchait-elle sur le ton de la rigolade.
Sortant du village Kokoriko, Gumi équarquilla les yeux. Elle qui n'était pas sortit du village depuis bien longtemps, redécouvrait un monde qu'elle avait pourtant vu derrière les fenêtres de chez elle.
En une demi journée, Gumi se retrouva donc sur la place du marché d'Hyrule. Il y avait une foule incroyable, tous marchaient vite, comme si ils étaient pressés. Les marchands ambulants fendaient alors cette foule, pour vendre leur produits, criant de plus belle, comme s'ils faisaient une course pour voir qui vendrait tous ces produits en premier. Sur les côté se trouvaient, non pas des moindre, les grands restaurant, les grandes boutiques chic, où il fallait cirer ses chaussures pour pouvoir entrer. Les Hyliens se bousculaient de partout et Gumi eue bien du mal à trouvé un endroits calme. Dans une petite ruelle, où presque personne ne passait, la jeune fille avait trouvé, par hasard, une petit boutique, qui servait aussi de bar. Ce bar tombait à pic, elle qui était affamée. La jeune fille repartit alors cherchant ce dont elle avait besoin.
Le lendemain, lorsque le soleil fut à son zénith, Gumi repartit alors les mains vide. La jeune fille n'avait rien trouver, même pas un petit incice, rien. De retour au village Cocorico, elle en conclut que ce devait être ces maudits gamins, qui avaient inventé cette histoire pour l'effrayer.